Critiques des romans de voyage et d’histoire de Jean-Luc Bremond.

Critiques La révolution du klezmer
Voici les critiques du roman de Jean-Luc Bremond la révolution du klezmer
Évasion littéraire
Je dois dire qu’avant de lire ce roman, je n’avais aucune idée de ce qu’était un klezmer et je pense ne pas être la seule. Aux côtés d’Elijah, je n’ai pas appris seulement la définition de ce terme, mais c’est tout un voyage initiatique que j’ai eu l’occasion d’effectuer. L’auteur nous emmène au gré de la musique et des rencontres de son protagoniste dans différentes régions, avec leur vision de la vie, de la politique et des traditions.
Critiques : quête
C’est un réel voyage voire une quête qui nous est proposée ici. Elijah se laisse porter par la vie et ce qu’elle a à lui offrir, cherchant par là même à savoir qui il est, ce qu’il veut et ce qu’il cherche. Les différentes rencontres qu’il va faire vont nous apprendre beaucoup de choses sur lui, sur les autres et surtout sur les mouvements qui commencent à naître partout en ces prémices de la deuxième Guerre Mondiale.
Xénophobie
Sur fond de climat tendu, d’idéaux politiques et de racisme, l’histoire nous emporte au cœur de cette période troublée avec simplicité et justesse. L’auteur réussit à nous faire ressentir au plus profond de nous-mêmes ce que vit Elijah et sa quête d’identité. L’acceptation de qui il est et d’où il vient sera le seul moyen pour lui d’avancer et de se retrouver lui-même au bout du chemin, pour enfin s’aimer et donner de l’amour à ceux qui l’entourent.
Critiques : amitiés
Pour cela, plusieurs personnes vont l’aider, certaines par leur amitié ou leur amour, d’autres par leurs réactions dures et hostiles. Tous mettront une pierre à son édifice que nous verrons se construire au fil des pages. Entre poésie, joies et douleurs, ce roman nous embarque pour ne plus nous relâcher avant le chemin terminé.

Critiques les chroniques de Lee Ham
Nous sommes en Transylvanie roumaine en 1925, Elijah parcourt le pays de village en village offrant ses services de klezmer.
Il semble en quête de quelque chose , en quête de lui-même peut être.
Étant passionnée d’histoire et de musique je ne pouvais décemment pas résister à l’idée de lire ce livre ayant pour héros un musicien.
Pour tout vous avouer , avant de lire le résumé de ce livre je ne savais pas ce qu’était un klezmer, je n’en avais jamais entendu parlé
J’étais très intriguée à l’idée de suivre l’histoire d’un klezmer du début du 20e siècle.
Klezmer
J’ai donc découvert qu’un klezmer est un musicien ashkénaze et dans le cas d’Elijah il s’agit d’un violoniste.
En faisant la connaissance d’Elijah j’ai basculé dans le temps , j’ai fais un bond de presque cent ans en arrière.
J’ai plongé au cœur de la Transylvanie roumaine , j’ai découvert la multitude de ses peuples et de ses habitants , la variété de cultures qui animent ces Terres qui jusqu’ici m’étaient plutôt méconnues.
Tout comme Elijah , j’ai été parfois charmée par ce que je découvrais et parfois atterrée face à certains comportements.
Critiques : nationalisme
Partout en Europe les années 20 et 30 ont marquées un tournant dans l’histoire. Elles ont été le catalyseur de nombreuses tensions et ont été révélatrices de certains extrémismes.
En accompagnant Elijah, certains comportements et certains façons de penser se révèlent à nous.
On découvre des gens qui souffrent , qui vivent pour beaucoup dans un certain dénuement .
Comme chacun le sait , cela rend propice la montée de certains sentiments, racisme , antisémitisme, nationalisme…
Découvertes
Et à travers cette histoire on se rend parfaitement compte de tout cela , on voit à quel point la situation est grave et ne demande qu’à empirer. L’Histoire est là pour nous le prouver.
Elijah est un peu le témoin de cette époque troublée. Sa vie de musicien errant le conduit de place en place et l’amène à prendre conscience de tout cela.
Et à mesure qu’il va à la découverte des autres c’est lui qu’il découvre.
Il va se mettre à mal pour mieux se trouver.
Critiques : rencontres
Mais cela ne va pas se faire en un jour et certaines rencontres vont se montrer déterminantes pour lui.
Que ce soit Rebecca, Istvan ou les autres personnages qui vont croiser son chemin, chacun à un rôle à jouer dans le destin de ce klezmer. Ils vont être pour lui plus importants qu’il n’y paraît , ils vont l’accompagner sur son chemin et le conduire là où il doit être. Même s’il va lui falloir un peu de temps.
Mais ce n’est pas la durée du voyage qui compte mais ce qu’il nous a apprit.
Culture
J’ai apprécié suivre le parcours d’Elijah, j’ai aimé voir l’évolution de sa personnalité et voir certaines prises de conscience se faire.
Même si certains termes liés à la religion , à la musique ou à cette région spécifique m’ont quelque peu échappés au départ ( je n’avais pas remarqué le lexique en fin de roman, lexique qui m’aurait bien aidé lors des premiers chapitres ) j’ai fini par me laisser porter par le rythme des mots et par le voyage auquel nous convie l’auteur de ce livre , Jean-Luc Bremond.
Un livre à découvrir.
Critiques La lectrice compulsive
La couverture est en accord avec le roman,le klezmer est une tradition musicale instrumentale des juifs ashkénazes (juifs d’Europe centrale et orientale).
Nous sommes en 1925 et Elijah voyage de village en village avec son violon afin de proposer ses services de musicien.
Nous plongeons au cœur de la Transylvanie Roumaine et à la découverte de sa culture,c’est passionnant!J’ai apprit beaucoup avec ce livre.
Voyage
L’époque ou évolue Elijah est une période trouble, la pauvreté, la violence, l’extrémisme, le racisme..sont partout il va rencontrer de nombreux personnages sur sa route, on peut dire que ce voyage est pour lui une quête initiatique , chaque personne qu’il va rencontrer va changer son destin, chacun à leur manière.
C’est un beau voyage, le personnage évolue et nous,nous apprenons beaucoup de lui.
La plume de Jean-Luc est belle,sensible, touchante et riche. C’est un auteur généreux qui offre beaucoup à ses lecteurs
All over the book
Ce roman nous plonge dans les années 20-30. En entrant dans cette période , on en apprend plus sur la situation européenne, mais aussi les sentiments que peut ressentir la population. Ce sont des années propices au racisme, l’antisémitisme , le nationalisme…Ne l’oublions pas. Elijah est notre témoin de cette période de l’histoire. Il en prend lui-même conscience en vagabondant d’endroit en endroit. Et par la même occasion, il prend conscience de sa propre personne.
Critiques : personnages
Il y a des personnages secondaires, qui ont chacun un rôle à jouer tout au long du livre. On peut croire à première vue que ce sont des personnages sans conséquence, mais on se rend compte assez vite que ce n’est pas le cas. Ils vont tous jouer un rôle dans la destinée d’Elijah.
Il est intéressant de voir l’évolution du musicien durant le roman.
Je remercie l’auteur d’avoir pensé à nous, en nous fessant un lexique à la fin du livre, car qu’on se le dise certains mots m’était inconnu.
La plume de l’auteur est fluide et plaisante. L’auteur arrive à nous faire voyager. Ce livre est une bonne découverte.
Critiques Les mille et une pages
Elijah est un klezmer, un musicien ashkénaze, il parcourt la Transylvanie Roumaine de 1925. Lors d’une journée un peu comme les autres, il va avoir un déclic, une envie de voir autre chose, de découvrir autre chose, sa quête ne fait que commencer. Plonger, en compagnie d’Elijah, dans un pays que je ne connaissais pas, dans une époque que je ne connaissais pas à été pour moi une bonne découverte.
Dépaysement
J’ai l’impression d’avoir beaucoup voyagé pendant ma lecture, j’ai aimé découvrir ses différents peuples, ses différentes cultures qu’Elijah va rencontrer pendant sa quête. Différents personnages vont croiser le chemin de notre musicien, chacun à sa manière va avoir une grande place dans l’évolution de ce dernier.
L’auteur a eu la bonne idée de nous faire un lexique à la fin de son roman ce qui m’a permis de pouvoir, à chaque fois que je ne connaissais pas certains termes, trouver leurs significations. L’auteur a une plume que je trouve très agréable, et un style fluide. Merci Jean-Luc Bremond pour le voyage que vous venez de me faire vivre.Laissez-vous emporter par la petite musique de ce roman à la suite d’Elijah, en pleine révolution, dans la Roumanie de l’Entre-Deux-Guerres.
Critiques Le chant du tambour

Voici les critiques du roman de Jean-Luc Bremond le chant du tambour
La lectrice compulsive
Pour devenir un homme, un jeune garçon de treize ans doit entreprendre sa quête de vision. Mais son père en a décidé autrement !Plongez vous dans ce récit initiatique grandiose, au cœur des immenses étendues du grand Nord Américain. Un contraste frappant entre la puissance de la nature et la violence meurtrière des hommes de l’autre côté de l’Atlantique.
La couverture du roman représente bien l’atmosphère du roman, tout en simplicité.
Ce roman est absolument divin, poétique,on apprend énormément de choses.
Critiques : vision
Achack est un jeune Indien, âgé de treize ans il doit entreprendre un voyage initiatique.La quête de vision
est expliqué simplement sur ce site :https://www.arizona-dream.com/
« La Quête de vision ou hamblechia, est un des deux grands rites révélés. Quand il part implorer une vision, l’Indien se retire sur une colline ou dans un bois, à l’écart du monde, pendant quatre jours et quatre nuits dans une fosse creusée dans le sol, pour véritablement se donner à toutes les forces et s’offrir aux esprits.(…) »
Achack par donc à la découverte des terres alentours, il doit aussi rencontrer d’autres personnes…
Mode de vie
J’aime beaucoup ce genre de roman et celui-ci est de toute beauté,un grand moment de poésie.
Il pose aussi beaucoup de questions sur le mode de vie et traditions de ses tribus.
Ce roman est une pure merveille.

Critiques Cléa
On voit la nature qui nous guide tout au long du roman, et Achack dont j’ai adoré le personnage qui porte sur ses épaules le destin de son peuple.
Les chroniques de Lee Ham
Tout commence par une loi. Celle du changement. Changement de traditions. De modes de vie, de coutumes et d’interdiction. Interdiction de sortir d’un territoire attribué. La vie change autour des Algonquins. Quel sera leur avenir sur la terre de leurs ancêtres? Quel sera le destin de ce peuple qui vit en harmonie avec la nature qui l’entoure? plus rien ne sera comme avant. Que d’inquiétude! Cette ancienne vie qui s’en va avec le départ de l’un des leurs vers le monde des esprits. La fin d’un monde respectueux de rites millénaires préservant la nature.
Critiques : destin
Achack a, entre ses mains, le destin de son peuple. La quête se déroule en douceur, entre leçons de vie, questionnements, conseils des plus âgés. Le lecteur découvre avec bonheur les rituels Algonquins, leur lien à la nature à laquelle ils s’identifient. Aux coutumes et traditions si respectueuses de la vie en général. Cette quête est initiatique et l’initiation est une quête qui mènera Achack au plus profond de lui, de ses desseins. Le tambour devient symbole. Devient le lien entre la vie et la mort. Symbole de cet éternel recommencement. Achack arrivera t-il à avoir des visions? Pourra t-il aller au bout de sa mission? Cette dernière portera t-elle les fruits escomptés? A quel prix?
Éveil
Le chant du tambour est un superbe roman. Un roman de sagesse. Sagesse du peuple Algonquin. Peuple qui arrive à la fin d’un cycle de vie. Doucement, lentement, au rythme de la nature, de l’éveil de la maturité d’un homme-enfant, nous avançons page par page à la découverte de deux peuples, au choc de leur rencontre, de leur destin si éloigné l’un de l’autre mais si lié.
Destins liés rien que pour le pire. Le chant du tambour est le roman des vies aussi résonantes que le tambour. C’est un très beau roman où le destin d’un peuple lié à la nature basculera définitivement vers une fin inexorable. Une ode à la nature porteuse de vie, de beauté, d’espoir foulés au pied. Par une loi.
Critiques Les milles et une pages
Achack est un jeune indien Algonquin, l’année de ses 13 ans comme tous les adolescents de sa tribu, il doit entreprendre sa quête de vision. Il va partir en mission pour voir ce qui se passe dans le pays et rencontrer d’autres personnes. Il a aussi pour mission de se confectionner un tambour, commence alors son voyage initiatique.
Périples
Ce roman est d’un genre que je lis très rarement et je vais vous dire que cette lecture à été pour moi un réel coup de cœur. J’ai adoré découvrir le périple de ce jeune Indien, la plume de l’auteur m’a complètement embarquée, j’ai eu l’impression de voyager au côté d’Achack. Ce roman est plein de poésie, de beauté malgré les épreuves que va devoir traverser ce jeune adolescent. L’auteur a une très belle plume, un style avec lequel je me suis senti de suite à l’aise. Merci Jean-Luc Bremond pour le moment de lecture que vous venez de m’avoir fait vivre, je ne suis pas prête d’oublier Achack et son fameux tambour.

Patrick James
Ce que j’aime bien dans ces moments de lecture et de chronique, c’est de découvrir de nouveaux auteurs, de nouveaux livres, de lire de nouveaux thèmes et parfois, comme le livre d’aujourd’hui, de lire quelque chose de totalement différent de ce que je lis actuellement.
Quand en plus l’auteur, Jean-Luc Bremond, m’envoie son livre en physique, avec une petite dédicace, j’avoue que cela fait plaisir.
Mais le vrai plaisir, la vraie surprise est dans l’histoire de son livre « Le chant du tambour ».
Critiques : recherche
L’histoire est vraiment très belle et, même si certains passages sont un peu lourds à lire (c’est mon unique reproche!), elle est clairement magnifique.
Entre rites, culture et traditions, on suit l’histoire d’un jeune algonquin pris au milieu de sa culture ancestrales et de la culture des blancs, nouvelle.
Une recherche de soi, perdu entre traditions et nouveautés en quelque sorte.
Mais c’est surtout le lien entre la vie et la mort, le rapport aux ancêtres qui est mis en avant.
Et, il faut être honnête, Jean-Luc Bremond sait y faire.
Style
L’écriture est bien, le vocabulaire riche, et nous laisse nous imprégner de la culture, des valeurs parfois lointaines ou perdues…
Une superbe lecture qui vraiment dépayse et nous permet de nous ouvrir l’esprit.
C’est donc pour moi une vraie réussite!
Critiques SuzetteinBooks
Alors cette histoire est paradoxalement très douce et très dure !
Nous découvrons Achack, jeune algonquin, qui va devoir entreprendre son initiation. Et il va devoir affronter bien des épreuves pour arriver au but de son voyage.
Émotions
Ce n’est pas le genre de lecture que j’ai habituellement mais là c’est tellement prenant, le voyage est tellement captivant.
On est à côté de ce jeune indien tout le long, on a peur, on compatit, on est peiné, on est content, soulagé, fier et heureux.
On le suit dans son parcours et on souffre avec lui comme on vit sa joie et ses victoires.
La plume de Jean-Luc est fluide, douce, pudique. Il nous enveloppe dans son univers et celui de son personnage.
Critiques : structure
La structure du livre est parfaitement équilibrée, divisée en plusieurs parties correspondant aux étapes du voyage, divisées elles même en chapitres courts ( pour moi c’est très important).
Voyagez aux côtés de Achack, embarquez dans une culture aussi belle que fascinante, aussi douce que respectueuse, aussi forte que fragile.
La petite rédac
La traite, la déconstruction des traditions ancestrales, l’histoire des premiers Hommes… Voici quelques thèmes traités avec brio par l’auteur.
Côté plume, le langage se veut descriptif mais sans fioriture. Une écriture simple et décomplexée qui permettra à n’importe quel lecteur de se plonger au coeur de cette odyssée historique.
Critiques: pédagogie
Par ailleurs, le champ lexical de la spiritualité est extrêmement présent et de plus en plus exploité à chaque chapitre ce qui donne une dimension mystique et philosophique au récit.
Pédagogue, l’auteur a même pris le temps de concevoir un lexique propre au langage des indiens d’Amérique à la fin de son oeuvre.
Côté personnages, j’ai été particulièrement impressionnée par la sagesse du jeune Achack, bravant tous les obstacles pour comprendre et retransmettre le savoir de son peuple, quitte à être embarqué dans les pires atrocités de la période coloniale. Risquant même de perdre, à jamais, son identité culturelle.
Critiques La voie de l’errance

Voici les critiques du roman de Jean-Luc Bremond la voie de l’errance
Stéphanie Pereira
Naranbaatar n’a que neuf ans quand un étranger se présente dans sa famille…
La Mongolie est séparé en deux. Le sud appartient à la Chine et le Nord à la Russie. Naranbaatar vie avec sa famille dans leur yourte en plein désert de Gobi en Mongolie Intérieur. Une vie de nomade.
Jusqu’au jour où cet étranger débarque chez eux. Naranbaatar est en âge d’aller à l’école. Mais sa famille ne fait pas confiance au chinois… Malgré tout, Naranbaatar se retrouvera en pension.
Critiques : camaraderie
Il se liera d’amitié avec deux autres jeunes garçons, tout deux également en mal de vivre.
Ils décideront de s’enfuir de la pension… Non sans mal, ils y arriveront. Et c’est le début d’un long périple de plusieurs années qui s’ouvrira à eux.
Ils feront de belles rencontres mais affronterons aussi des climats extrêmes et devrons faire face à de nombreuses difficultés.
Traversée
Mais rien ne les arrêtera ! Ils traverseront l’Himalaya, la Tibet, le Népal… Un détour qu’ils seront contraints de faire pour pouvoir retrouver leur famille sans se faire prendre par les forces de l’ordre.
Leur voyage sera leur propre école. Ils apprendront d’autres langues et s’imprégneront d’autres cultures. Finalement, l’école de la vie ne leur saura t-elle pas plus bénéfique que la pension obligatoire les éloignant de leur propre culture ?
Les jeunes garçons arriveront-ils au bout de leur périple ? Retrouveront-ils leur famille ? Leur amitié sera t-elle assez forte pour affronter toutes les épreuves qui se dresseront devant eux ?
Critiques : petits peuples
Une livre magnifique. Un voyage plein d’émotions. Une lecture poignante. En suivant ce voyage, nous avons l’impression de partir dans une toute autre époque. L’auteur, Jean-Luc Bremond, nous décrit un paysage tellement sublime mais si changeant le tout avec beaucoup de précision. Il nous retranscrit également une situation politique qui met à mal les « petits peuples » qui cherchent seulement à garder leurs us et coutumes.
A travers la romance de ces jeunes garçons, nous sommes non seulement bouleversés par leur histoire mais aussi par la vie imposée dans les minorités ethniques.
Un livre qui me change de mes lectures habituelles ; et je suis totalement conquise !

Critiques Les milles et une pages
Naranbaatar, un jeune Mongol du désert de Gobi, doit quitter sa famille pour se rendre à l’école rendue obligatoire par les Chinois. Ne se faisant vraiment pas à tout cela, le jeune garçon de neuf ans décide, accompagné de trois de ses camarades, de fuir l’école afin de retrouver leurs familles. La fugue des trois amis va durer beaucoup plus longtemps que prévu, ils vont devoir faire face à beaucoup d’épreuves, la quête ne fait que commencer pour trouver leurs voies.
Liberté
Coup de cœur pour ce roman, je me trouve tellement chanceuse d’avoir pu lire un roman comme celui-ci. J’ai passé un moment de lecture très fort, j’ai eu l’impression de vivre l’aventure au côté de Naranbaatar, Sukbataar et Kushi. Ces jeunes enfants en quête de liberté, malgré le prix qu’il va leur falloir payer pour cela. La voie de l’errance est un voyage initiatique où les trois amis vont apprendre à se découvrir et au final acceptés leur destin.
Critiques : géographie
Ce roman je l’ai lu d’une traite, une fois de plus Jean-Luc Bremond a réussi à me captiver par le récit qu’il me proposait, sa plume est tellement agréable, ce n’est pas le premier roman que je lis de cet auteur mais je pense que c’est mon préféré, pour le moment bien entendu vu que l’auteur arrive à chaque nouveau roman à me surprendre. Le voyage que je viens de vivre je ne suis pas prête de l’oublier, j’aurais bien aimé retrouver une carte nous retraçant l’errance des jeunes garçons, mais cela ne m’a pas empêché d’apprécier mon périple. Merci Jean-Luc pour le moment de lecture incroyable que je viens de passer grâce à vous.
La lectrice compulsive
J’ai tout de suite trouvé la couverture très belle,le choix d’illustration est parfait, le récit est ainsi superbement mis en valeur par ce bel écrin.
Au fil de mes précédentes chroniques, j’ai avec vous partagé mon admiration pour la plume de ce brillant auteur, on est à la fois dans un récit poétique, initiatique. Un voyage fabuleux en Chine et Mongolie sans oublier le Tibet.
Critiques : description
Des descriptions précises et passionnantes, des dialogues forts, des personnages attachants font de ce roman, un livre essentiel pour toutes les bibliothèques.Un livre qui invite à la réflexion et au rêve.
On ne peut se lasser du talent de conteur de Jean-Luc Bremont et je m’estime vraiment chanceuse d’avoir pu chroniquer ses romans jusqu’à présent et j’espère vite découvrir d’autres de ses récits très vite.

Critiques Les chroniques de Lee Ham
Quitter sa famille pour l’inconnu quand on a neuf ans, n’est pas facile. Quand il s’agit de perdre son identité, c’est pire. A cet âge, l’esprit de rébellion peut être très forte. La recherche des racines que l’on est en train de perdre devient une quête. Une quête qui va au-delà de sa propre volonté. C’est le début de l’aventure. Trois enfants, symboles de résistance Mongole face à l’institution chinoise. Guidés par leur désir de liberté, par les diverses rencontres, par la foi en leur rêve, ils avancent vers un but. LEUR but. Que trouveront-ils au bout du chemin? Est-ce une manière de se confronter à leur destinée propre?
Ode
La voie de l’errance est un ode à la liberté. Une liberté qui peut être acquise très chèrement. Chacun pourrait en sortir grandi. Chacun pourra se découvrir et découvrir l’autre dans les épreuves. Dans l’amitié. Pour la vie. Pour leur destinée. Nous assistons à un voyage initiatique. Les trois fugueurs iront au bout d’eux-mêmes pour se découvrir. pour se connaitre enfin. Pour comprendre leurs choix. Pour accepter leur destin. Qui aurait pensé qu’un chant, fut-il chamanique, bouleverserait leur vie?
Critiques : aventure
La voie de l’errance comporte sept parties qui portent des noms d’animaux-totems. Ces animaux qui illustrent les caractères, les aventures de chaque enfant. La lecture se fait d’une traite tant l’aventure de ces jeunes nous intrigue et nous rend addictifs. La voie de l’errance ne raconte pas une banale errance. Mais raconte une vie. Des vies. Des personnes à la recherche d’eux-mêmes et de leur idéal. Vont-ils le trouver? Dans combien de temps? Ce roman est un chant de liberté. Un chant de conquête. Conquête de soi, des idéaux et de la liberté. Une liberté chèrement acquise. Mais, profondément méritée. Une quête de liberté sur la voie de l’errance.
Critiques Le choix de Firuze

Voici les critiques du roman de Jean-Luc Bremond le choix de Firuze
More and new reading
Tout d’abord, je remercie encore l’auteur pour sa proposition de ce service presse et de m’avoir fait découvrir autre chose que ma zone de confort. En effet, les romans se passant au Moyen Age et dans les pays tel que L’Iran etc, je ne connaissais rien. Cela est de même pour L’Islam. Pourtant, je ne regrette pas, je sors de ma lecture avec un sourire aux lèvres, j’ai appris tellement de chose, j’ai la sensation d’avoir voyager et vécu aux côtés des protagonistes tant les mots de l’auteur et sa plume est simple, fluide et sans difficultés. Tout est tellement bien décrit et raconter que nous avons la sensation d’être dans l’histoire, complètement. Pour tout vous dire à la lecture du résumé je pensais même que le prénom « Firuze » était un prénom masculin, et puis, non.
Critiques : pays
Pour vous raconter un peu en plus en détails, sans trop vous en dévoilé. Le roman va nous faire rencontrer tout d’abord Alim, qui est d’originie Chiite. Une origine pas tout apprécier par la famille et les origines de la Firuze. Le jeune homme va donc cacher et mentir sur ses croyances par amour de sa compagne. Quitte à mettre en danger les derniers membre de sa famille.
Renoncement
En effet, Firuze est sunnite. Des religions et leurs différences dont l’auteur a pris le temps de bien expliquer à travers les paroles des personnages. On comprend et on suite le fil du roman facilement. Pour pouvoir vivre de leur amour en renonçant à tout ce qui’ils ont, ils s’exilent, ils vont entreprendre un voyage vers l’Est avec Kendal notamment, qui est l’une parmi les plusieurs personnes qu’ils vont rencontrer. Ils rejoignent les Bouddhismes puis la Chine .. mais comme dit précédemment, ils rencontrent plusieurs personnes durant leur périple, et pas toutes leur souhaitent le bonheur.
Bonheur
Pour nos deux protagonistes, c’est un peu leur quête principale. Vont-ils réussir ? A quel prix ? Vont-ils pouvoir vivre leur amour ou y renoncer ? C’est cette histoire et ce voyage jusqu’à son dénouement que nous suivons avec Alim et Firuze et que je vous invite à votre tour, si cela est votre genre à entreprendre à leur côté. Je suis largement sorti de ma zone de confort pour découvrir ce service presse, je ne regrette vraiment pas, ce fût plaisant étant donné l’écriture simple et fluide de l’auteur. Les textes en italliques en chaque début de chapitres sont tout aussi important à la compréhension du récit.
Critiques Les chroniques de Lee Ham
L’amour fait souvent fi des contingences humaines. Il frappe deux cœurs au hasard des rencontres. C’est ce qui arrive à Firuze et Alim. Amoureux, leur sentiment n’est pas reconnu par leur entourage. Leur crime? Etre musulmans, mais pas de la même confrérie. Leur vie est menacée et les deux tourtereaux doivent lutter pour faire reconnaître leur amour.
Conte
Le choix de Firuze commence comme un conte de fée et devient une véritable quête du bonheur. Faut-il négocier ou se cacher? S’exiler ou divorcer? Devant ces choix cornéliens, nos deux tourtereaux prennent la route de l’exil. L’exil à travers le Proche et le Moyen Orient à la recherche d’un avenir. A la recherche d’une vie. Dans une région détruite par les guerres religieuses intestines. Par les différents courants religieux naissants. Ajoutant ainsi à leur désespoir, la peur, la colère. Peut-être la rancœur.
Critiques : soufisme
Le choix de Firuze nous fait voyager à travers l’Orient de Zarathoustra, de l’hindouisme, de la chrétienté, du soufisme. Le soufisme, une religion qui répondrait peut-être bien à leur quête de solution. Sont-ils prêts à sauter le pas? Quel sera le prix à payer? L’amour est souvent à double face et ce jeune couple, dès le début en ressent les prémices. Comment faire pour pouvoir s’aimer au grand jour? Marcher d’un même pas pour avancer vers leur destin? Doivent-ils étudier les différents cultes religieux de l’époque afin d’en choisir un? Ce qui est sûr c’est que nous attendons avec impatience le choix de Firuze.
La lectrice compulsive
La couverture est à elle seule un voyage, une plongée dans l’inconnu. Je l’aime beaucoup, elle est parfaite pour ce roman.
Merci Jean-Luc d’écrire de si beaux livres, merci de nous faire rêver,voyager à travers vos récits.Chaque fois, l’impression de se plonger dans un carnet de voyage à la rencontre de peuples, de civilisations nouvelles.Chaque l’impression de rêver, de vivre des aventures incroyables.
Les romans de Jean-Luc Bremond-Service que j’ai eu la chance de lire sont certes tous différents mais ils ont en commun de fourmiller de connaissances nouvelles et d’être des odes à la liberté et la tolérance.
Nous sommes ici dans une sublime histoire d’amour qui va vous emmener sur des sommets vertigineux.
Je connais très bien l’islam et le moyen-âge alors ce roman ne pouvait que me captiver..
Critiques Les milles et une pages
Jean-Luc Bremond a eu la gentillesse de me faire parvenir un autre de ses romans et je vais vous avouer une chose, c’est que quoique je ne sois pas une adepte de ce genre de littérature, je viens de passer un très agréable moment de lecture.
Ce roman, c’est l’histoire de deux jeunes gens qui tombent amoureux, le souci, c’est qu’ils appartiennent, chacun de leur côté, à deux courants différents qui divisent l’islam. Lorsque leur secret est découvert Alim et son épouse Firuze se voient dans l’obligation de prendre la fuite, et va commencer leur parcours à la recherche de la liberté, mais à quel prix et combien de sacrifices vont-ils devoir faire ?
Moyen-Orient
Cette histoire se passe au moyen Âge, une époque que je ne connais pas réellement et encore moins dans cette partie du monde, mais Jean-Luc Bremond a réussi à complètement m’embarquer dans cette époque entre la Mésopotamie et l’Iran pour ne citer que ces deux pays parce que le voyage de nos deux amoureux ne s’arrête pas à ceux-ci, loin de là. La plume de l’auteur est toujours aussi agréable, je la qualifierais même de magique tellement j’ai eu l’impression d’être hypnotisé par ses mots, je trouve le style de l’auteur poétique, touchant, tout simplement beau. Si vous aussi avez envie de vous déconnecter de votre quotidien et d’avoir l’impression de voyager tout en restant sur votre canapé ce roman est pour vous.
Cleabooks
L’auteur m’a fait voyager, j’ai eu l’impression de vivre ce périple avec les personnages. Ce n’est pas vraiment mon style d’histoire, ce qui m’a vraiment surprise, de plus, la plume de l’auteur nous permet une lecture fluide. J’étais comme hypnotisé, impossible de lever mes yeux du livre ! Si vous voulez voyager, en apprendre sur l’Iran, ou encore sur l’Islam du Moyen Âge je vous invite à lire ce roman. Un auteur a surveiller !
Critiques Un pays, une communauté

Voici les critiques sur le roman de Jean-Luc Bremond un pays, une communauté
Nous terminons cette série de chroniques avec cet ouvrage intitulé Un pays, une communauté. Je remercie une fois de plus Jean-Luc Bremond pour sa confiance et pour cette nouvelle opportunité de découvrir sa plume en profondeur.
Aujourd’hui, nous plongeons dans les contrées bretonnes à la découverte de la vie d’un nouveau personnage atypique, Laurent.
Critiques : famille
Côté plume, il s’agit d’une œuvre littéraire profonde et travaillée d’une main de maître. Je recommande donc ce livre aux artistes et aux fans d’histoires d’amour sortant des sentiers battus.
De plus, l’auteur semble avoir mis l’accent sur le rythme des saisons pour étoffer son champ lexical à chaque chapitre. Cette méthodologie littéraire rend ce livre cadencé et très agréable à lire.
Côté personnages, j’ai pu découvrir Laurent, sa famille et ses amis. Il s’agit d’un être dévoué, passionné et plein d’empathie ce qui le rend particulièrement attachant.
Artiste
Artiste, j’ai trouvé qu’il s’abandonnait totalement à la création. J’ai également apprécié l’introduction du genre épistolaire dans ce livre. Ces correspondances m’ont d’ailleurs rappelé celles introduites dans La voie de l’errance. Elles permettent de voyager et de mieux comprendre les liens qu’entretiennent les différents personnages.
Je trouve que cette histoire touche un peu plus au vécu de l’auteur, lui aussi adepte d’art et de vie en communauté.
Critiques Alohomorabooks
Ce roman est une très belle découverte, la couverture est attirante et l’histoire est encore mieux. On suit la vie de Laurent de son adolescence jusqu’à sa vie d’adulte et de père. Le résumé est très intrigant et on tombe dans un roman que l’on ne peut pas reposer. Il est très bien construit. Ma lecture a été fluide grâce à l’écriture de l’auteur qui est poétique et tous les mots sont bien choisis.
Ce récit ne va pas vous laisser indifférent. On peut voir la souffrance de cet homme tout au long de sa vie, comme une sorte d’introspection. Les informations que l’on apprend au fur et à mesure de notre avancée rajoute quelque chose d’encore plus intéressant à notre lecture.
Confinement
Avec le confinement, la Bretagne me manque, et j’ai été très heureuse de la retrouver dedans. Des souvenirs remontent tout au long de ce roman, j’ai encore plus aimé le lire. C’est un très beau roman, que je recommande énormément. Il est agréable à lire et j’espère que vous passerez un bon moment. C’est un véritable voyage que l’auteur vous propose.
Les chroniques de Lee Ham
La vie est faite de choix. Choix qui définissent la personne qui les fait. Des choix qui ne peuvent pas plaire à tout le monde, qui sont parfois un rite de passage et qui affirment une certaine indépendance. Laurent en a fait un: vivre dans une communauté. Est-il prêt? Qu’en pense sa famille? Cette communauté choisie est-elle prête à le recevoir?
Critiques : nature
Un pays, une communauté est le récit d’un homme qui se cherche. Une recherche difficile face à certaines personnes. Face à la famille. Face à des restes d’éducation traditionnelle. Une recherche qui révèle toute la difficulté à être différent. Pour son plaisir et son bonheur. Pour soi-même et se retrouver. Aimer la nature, les promenades solitaires ne suffisent pas à tirer un trait sur tout et à se perdre dans une communauté. Bien loin de là. Laurent nous entraîne dans sa vie. Dans ses choix. A la recherche de réponses à ses questionnements.
Communauté
Un pays, une communauté sonne comme un voyage initiatique. C’est un roman qui raconte les tourments légitimes ou non d’un homme qui doit aller au bout de lui-même pour se retrouver. Il doit aller au bout de ses sentiments. De ses ressentiments. Un homme balloté par l’amour. Par des questionnements. Pour se prendre en main. Pour se construire et construire une famille. La communauté est son refuge. Par moments. Elle est aussi source de tourments. Parfois. Laurent arrivera t-il à trouver des réponses? Choisira t-il de rester dans sa communauté? A quel prix? Tant qu’il n’y perd pas son âme…..
Luciled18
Ce fût tout d’abord la belle couverture puis le résumé intrigant qui me donnèrent envie de lire ce livre parfois à la limite de l’ésotérisme et du mystique. La plume de l’auteur est très agréable et l’on suit Laurent de la fin de son adolescence jusqu’à ce qu’il soit devenu plus serein et père à plusieurs reprises.
Cette lecture a été pour moi sous tension car tout le récit est tendu à cause de la souffrance évidente du personnage principal qui oscille entre envie de rébellion et frustration liée à sa grande inhibition. Laurent est effectivement tourmenté et l’auteur parvient avec brio à nous livrer un récit chaotique, le juste reflet du personnage qu’incarne Laurent et son désarroi. Pour ma part, lors de la lecture il a parfois été complexe de remettre les différents protagonistes (frères ou autres). le lien avec sa famille est raconté de manière épistolaire via des missives entre sa fratrie et lui-même. Je me suis parfois perdue dans cette lecture qui je pense nécessiterait une relecture de ma part pour m’éclairer connaissant déjà le fil de l’histoire et l’aboutissement.
Critiques : folklore
L’écriture de Jean-Luc Bremond est très poétique et chacun de ses mots choisis avec soin compte pour construire toute la trame du récit. Son écriture est, je pense, l’issue d’un long travail. le vocabulaire employé est riche et recherché.
Cette lecture ne vous laissera pas indifférent. J’ai été positivement marquée par des évidences qu’il soulève, des propos philosophiques captivants et des messages pertinents. Des réflexions intéressantes sur l’art notamment m’ont marquées.
Beaucoup d’apartés sur le folklore et les danses bretonnes qui nous rappellent où nous nous trouvons géographiquement mais qui en soit ne servent pas le récit en lui-même ou alors je n’ai pas perçu le lien.
Ce livre s’achève en nous laissant apaisés par une fin sereine.
Critiques Les bookineuses du 28
Interpellé par la quatrième de couverture, j’ai souhaité découvrir la plume de l’auteur et son roman.
Une belle surprise, la plume de l’auteur est parfaitement maîtrisée et très agréable à la lecture. Chaque chapitre s’enchaîne sans temps mort et très logiquement. C’est un écrit assez dur qui ne pourra pas vous laisser indifférent.
L’auteur a réussi à travers ses mots à nous faire ressentir la douleur de Laurent. Au cours des pages, nous allons suivre la vie de Laurent, un jeune homme atypique et souvent dans la souffrance. On va voir la vie de ce protagoniste défilé ainsi que des allées et venues de sa famille.
Bretagne
Nous apprendrons par parcimonie des informations tout au long du récit sur cette famille. le point fort de ce livre est la plume de l’auteur sans aucune hésitation. Il mélange la poésie et le vocabulaire soutenu avec brio.
On ressent immédiatement que l’auteur a fait un travail de recherche très important et fait part d’un grand professionnalisme.
On n’oublie pas à travers ses lignes les clins d’œil à la Bretagne qui personnellement m’ont rappelé des souvenirs.
Une lecture qui va vous laisser une trace et qui vous fera relativiser sur votre vie.
Je suis vraiment très contente d’avoir la chance de découvrir ce roman si différent de ce que j’ai l’habitude de lire.
La lectrice compulsive
Lorsque j’ai reçu le roman, je me suis rendue compte de la véritable beauté de la couverture. Elle est vraiment sublime.Beaucoup plus que sur l’image, le roman est de grande qualité, la taille,la police, la qualité du papier je n’ai rien à redire.
La plume de l’auteur est fluide,poétique,tendre mais franche.Jean-Luc Brémond est un auteur qui a de l’expérience et qui maîtrise très bien son récit.
Critiques : philosophie
Au fil des pages, nous suivons Laurent de son adolescence à un âge plus mûre. C’est un personnage très touchant, il souffre beaucoup…
Je n’ai pas quittée la Bretagne où Colline Hoarau m’a déposée dans la chronique précédente
Parfois légèrement philosophique, toujours délicat ce roman se révèle indispensable, je vous le recommande grandement.
Critiques Les milles et une pages
Maintenant que je connais les romans de Jean-Luc Bremond, il me tarde toujours de débuter ma lecture. Une fois de plus, je viens de passer un très bon moment de lecture. De la première à la dernière page, je me suis senti au plus proche du personnage de Laurent, que l’auteur nous fait découvrir dans ce roman. Laurent est issu d’une famille nombreuse, un peu rebelle, il aspire à vivre ses propres expériences au sein d’une communauté qui lui conviendrait.
Poésie
Grâce à son écriture et à ses mots, j’ai bien ressenti les souffrances et douleurs de Laurent, j’ai aimé suivre son parcours, au fil des pages, différentes informations nous sont données cela à rajouter beaucoup de plaisir à ma lecture. La plume de l’auteur me plaît toujours autant, elle est tellement agréable à lire, j’ai encore découvert beaucoup de poésie dans ce récit. Cette lecture va encore faire partie des très bons moments de lecture de l’année comme à chaque fois que je lis cet auteur, j’ai l’impression de participer à un voyage incroyable, merci Jean-Luc.
Évasions littéraires
J’ai déjà eu l’occasion de lire une autre œuvre de l’auteur et il m’avait déjà fait voyager et rêver avec sa plume sublime et unique. Aussi, quand il m’a proposé de découvrir un autre de ses romans, je n’ai pas hésité et j’ai opté pour celui-ci, car son résumé m’intriguait davantage et m’attirait fortement. Après l’avoir lu, difficile de ne pas avoir envie de rencontrer Laurent et de découvrir ce qu’il va vivre et le chemin qu’il va suivre.
Critiques : questionnement
Laurent est donc le douzième d’une grande famille et il cherche à s’émanciper et à suivre sa voie, loin du chemin tout tracé que ses proches voudraient qu’il emprunte. Cela le conduira à rejoindre une communauté et à découvrir la vie en son sein, nous permettant de vivre avec lui ce quotidien et les réflexions que cela engendrera chez lui. Car si Laurent s’y plaira, beaucoup d’éléments vont le questionner, mais aussi le faire souffrir.
Notre héros est un personnage qui touche fortement et qui nous donne envie de le suivre tout au long de ce roman. Il entamera une vraie recherche de soi à travers les événements parfois très douloureux qu’il vivra, afin de trouver qui il est vraiment et ce qu’il veut dans sa vie. Mais ce chemin est semé d’embûches et il aura bien des choses à apprendre sur lui-même et sur les autres pour se libérer de ses chaînes.
Relations
L’auteur nous conte une histoire qui ne peut laisser indifférent et qui touche fortement le lecteur. Le fonctionnement de la communauté est passionnant à découvrir et nous donne envie d’en apprendre toujours plus. J’ai été passionnée par cette partie l’histoire et très intriguée par la relation toxique que Laurent partagera en son sein. C’est une réelle descente aux enfers qu’il vivra et cela nous touche fortement.
Ce roman est fort et nous fait passer par toutes les émotions, de quoi nous donner envie de suivre longtemps les réflexions et le vécu de notre personnage principal. La plume poétique de l’auteur soutient bien tout cela et nous plonge avec facilité au cœur de son roman et dans les réflexions qu’il souhaite partager avec nous. C’est un roman qui sort du lot et qui mérite largement d’être découvert.
Critiques L’arbre turquoise

Voici les critiques du roman de Jean-Luc Bremond l’arbre turquoise
Sophie Pradel
En regardant l’adresse d’expédition, je me suis rendue compte que Jean-Luc vivait dans une communauté, pas si loin de mon lieu de vie, distante de quelques dizaines de kilomètres, et dont j’ai quelque peu entendu parler.
Cela m’a permis de comprendre un peu mieux le pourquoi du comment du récit, que j’avais entre les mains.
La communauté non violente dans laquelle vit l’auteur, et les paysages des grands espaces dans lesquels il évolue, lui inspire des romans aux notes pacifistes et environnementales, essentielles à la vie.
Critiques : réflexions
C’est l’histoire d’une famille de paysans, Rachel, Ivan et leur fils Mikhail, convaincus que seule la paix peut faire avancer l’humanité, dans un Sens nouveau et sain.
Ils fuient la guerre civile russe, leur but est de trouver la paix loin des combats humains, mais aussi la paix intérieure, en accord avec ce qu’ils aspirent, de par leur mode de vie, leur réflexion intérieure et philosophique.
Le roman est fait de réflexions de la l’échange par des personnages, cela même le lecteur le fait aussi
Un beau travail d’introspection.
Mais le récit est aussi très addictif, de par les péripéties qui s’enchaînent, et la Quête de cet arbre turquoise, quête ultime, plantée jadis par les grands-mères.
D’où une réflexion de paix, et d’importance des anciens et de leur enseignements.
Ce récit m’a donné envie d’en connaître un peu plus sur la communauté dans laquelle évolue Jean-Luc.
Elle défend et développe de très belles valeurs humanistes, pacifistes, qui permettent une réflexion personnelle, dans laquelle toute personne ne peut se retrouver et adhérer librement.
Le récit est très agréable à la lecture, parsemé de citations et invite à la réflexion, et à la découverte d’une belle histoire.
Un travail d’écriture très bien maîtrisé par la mise en page et le déroulé des événements.
La couverture invite à l’évasion, à contempler la nature et en ressortir le meilleur, pour soi et les autres. Elle est en totale adéquation avec le récit et la façon de penser de l’auteur.
Beauté du temps, de l’espace et des paysages. Valeurs humaines,de paix intérieure, et pour le monde.